3h36, hostie d’heure plate.
Je me sens invincible quand je regarde devant, les heures, jours et mois à venir.
Un chaos contrôlé, canalisé.
The Bedlam in Goliath en trame sonore,
Le pouvoir de l’image et d’un riff de guitare qui tue, Ilyena.
Je suis en fuite par en-avant : j’ai l’énergie pour poursuivre tous mes projets.
La musique, les livres, les études, la job.
Tous sont des nécessités en quelque part, par leurs apports et leurs vices.
La musique demeure toutefois celle que je voudrais à tout prix épargner.
Je n’ai pas le temps d’imaginer d’autre personnage que le moi qui s’accomplit. Pas de temps pour attendre non plus. Je suis exigeant envers moi-même et beaucoup, aussi, envers les autres. Parce que chacun doit s’accomplir, aller au bout de ses rêves, de ses plans. Car on ne peut jamais manquer de plans, pourquoi ne pas réaliser ses projets ? J’en tire un bonheur maximal.
J’ai peur de beaucoup d’idéaux politiques.
J’ai des rêves lointains, de bienveillance pour les générations à venir.
On doit beaucoup à ceux qui nous succéderont.
On leur enlève déjà trop.
Je veux leur laisser une part d’espoir, l’idée d’un monde meilleur.
La prochaine révolution sera un renversement interne.
Elle viendra sans violence car naturelle à suivre, elle appellera par la raison et les trippes.
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