Échos de fin de session

Je viens de passer littéralement 15 heures d'affilée sur le campus, dont au moins 6 à plancher sur un travail portant sur le principe de permanence de la substance de Kant.

Ouf.

Kant peut vous mettre dans un état second, apparemment.

J'ai fait le calcul : dans les deux prochaines semaines, je vais pondre un beau 40 pages de texte pour 3 cours différents. Pas colossal, certes, mais fatigant. Surtout après une session où se sont enchaînés les cours, les travaux, la job à 22 heures/semaine, les demandes de bourses pour la maîtrise, les séances d'enseignement du français... sans pause.

J'entends une voix floue me siffler aliénation

À quand le temps pour faire de la musique, hein ?